EXPERTISE DES CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES très basses fréquences
Les champs magnétiques émis par les appareils fonctionnant à l’électricité émettent un champ magnétique classé cancérigène quand ils sont en fonctionnement. Ce champ sera d’autant plus grand que la puissance de l’appareil sera importante. Ils ont la capacité de traverser entièrement le corps humain, qui est lui-même composé de cellules fonctionnant et vibrant par un propre champ électrique. Un champ électromagnétique extérieur et artificiel induira un effet sur le fonctionnement cellulaire et cet effet sera amplifié par la dose d’exposition sur la durée de temps.
Éléments concernés :
Lignes électriques très haute tension, haute tension (20.000 volts) et basse tension(220-380 volts). Transformateur de courant, lieux sensibles – Résistances, moteurs ou transformateurs (tête de lit des chambres )
Les mesures concernant les champs électromagnétiques très basses fréquences ELF et VLF s’effectuent selon un protocole en fonction des situations, que l’on soit en milieu industriel ou résidentiel. Les mesures sont effectuées pour les champs électriques en Volt/mètre et pour les champs magnétiques en micro, milli-Tesla ou milli-gauss.
Limites à l’exposition aux champs électromagnétiques dans l’environnement résidentiel ou professionnel. (classé cancérigène 2B). Au sein de l’habitat, les doses d’exposition seront contrôlées surtout au niveau des têtes de lit ou lors des installations électriques.
Risques sanitaires
Eléments concernés très basses fréquences : Lignes électriques très haute tension, haute tension (20.000 volts) et basse tension(220-380 volts). Transformateur de courant, lieux sensibles (tête de lit des chambres ), sites industriels, sites sensibles.
Les champs électromagnétiques basses fréquences : pénétration du corps humain
A l’instar des champs de très hautes fréquences SHF, les champs de très basses fréquences ELF ont un pouvoir de pénétration totale du corps humain en ce qui concerne le champ magnétique. C’est pourquoi ils sont classés cancérigènes possibles. Le champ électrique, autre composante des champs de très basses fréquences ne pénètre pas le corps humain.
Les CEM extrêmement basse fréquence (induits par les lignes électriques de transports, transformateurs électriques, voies ferrées, lampes, appareils ménagers, ordinateurs, etc.) ont été classés cancérogènes possibles pour l’homme par le CIRC (groupe 2B).
Les études montrent un lien statistiquement significatif entre les leucémies infantiles et une exposition résidentielle à des champs magnétiques supérieurs à 0,2 à 0,4 µT.
L’autre composante du courant : le champ électrique très basses fréquences exprimé en volt/mètre n’est pas pénétrant. Par contre, il peut avoir une incidence par effet de polarité sur le champ électrique du corps humain.
Les champs magnétiques quant à eux ont la capacité de traverser entièrement le corps humain, qui est lui-même composé de cellules fonctionnant et vibrant par un propre champ électrique. Tout laisse à penser qu’un champ électromagnétique extérieur et artificiel induira un effet sur le fonctionnement cellulaire et que cet effet sera amplifié par la dose d’exposition sur la durée de temps. Connaître sur le long terme les effets des champs induits sur la cellule n’est pas simple. Personne aujourd’hui ne peut affirmer que certaines pathologies n’ont aucun lien avec les facteurs environnementaux des champs électromagnétiques.
Le corps humain n’a aucune possibilité de s’adapter aux sources agissantes de champs électromagnétiques artificiels.
Effets directs des champs statiques, électriques ou magnétiques
Les champs électriques : fatigue – polarité du corps humain
Les champs magnétiques peuvent être à l’origine :
- D’une modification de l’électrocardiogramme (ECG), de malaises (nausées, vertiges, goût métallique, perception de taches lumineuses pour une exposition supérieure à 2 tesla).
- Risque de pathologie cellulaire (classification cancérigène 2B). Les risques sont vraiment à prendre en considération, surtout dans les endroits où le corps est exposé sur de grandes durées de temps ( chambre tête de lit, radiateurs électriques, travail, habitat dans l’environnement d’un transformateur EDF non blindé, habitat sous des lignes de hautes et très hautes tension…)
EXPERTISES DES CHAMPS ELECTRIQUES très hautes fréquences
Nous utilisons un matériel professionnel pour mesurer les impacts des très hautes fréquences sur l’environnement intérieur – habitat, bureaux, lieu de travail.. Les ondes de très hautes fréquences concernent les antennes-relais, téléphonie sans fil, DECT 1,8 GHz, DECT 5 GHz, téléphonie mobile GSM 900 MHz, téléphonie mobile 1,8 GHz, UMTS 2,2 GHz, Wi-fi, 4G, 5 G. ce sont des ondes pénétrantes qui agissent sur les organismes vivants. Il ne faut pas dépasser certaines valeurs de précaution.
Eléments concernés : Antennes-relais, téléphonie sans fil, DECT 1,8 GHz, DECT 5 GHz, téléphonie mobile GSM 900 MHz, téléphonie mobile 1,8 GHz, UMTS 2,2 GHz, Wi-fi, 4G, 5 G radiocommunication, radiophonie, émetteur radiodiffusion, micro d’écoute et de surveillance, radars, sites industriels, activité médicale….
La sonde donne à l’écran la somme de toutes les émissions perçues et permet ainsi de savoir si la somme des puissances perçues est en accord avec la législation. Les résultats sont exprimés en Volt/mètre, Ampère/mètre, Watt/mètre carré ou encore milli Watt/centimètre carré.
Une antenne-relais peut émettre une puissance en accord avec la législation mais un cumul peut se faire avec une autre source d’émission comme par exemple la Tour Eiffel. Dans ce cas, les limites peuvent être largement dépassées.
Les mesures sont effectuées avec une base Narda et une sonde professionnelle Narda. Elles sont faites en instantané et permettent de définir la puissance cumulée perçue dans l’environnement testé, ceci sur une plage de 100 MHz à 6 GHz. (antenne-relais, téléphonie, émetteurs, radars, Wi-fi…)
Malgré la réglementation actuelle, il existe de très nombreux cas où les valeurs sont supérieures aux valeurs limites autorisées.
Risques sanitaires
Eléments concernés très hautes fréquences:
Antennes-relais, téléphonie sans fil, DECT 1,8 GHz, DECT 5 GHz, téléphonie mobile GSM 900 MHz, téléphonie mobile 1,8 GHz, UMTS 2,2 GHz, Wi-fi, radiocommunication, radiophonie, émetteur radiodiffusion, micro d’écoute et de surveillance, radar, sites industriels, activité médicale….
Aujourd’hui, une grande partie des effets sanitaires sont indéfinis. Personne ne peut dire si les effets induits ne sont pas précurseurs d’autres pathologies. Le corps humain n’a aucune possibilité de s’adapter aux ondes électromagnétiques artificielles. Le seuls effets visibles actuellement, hormis les effets thermiques sont ceux définis par les personnes sensibilisées, dites électro-sensibles.
Très Hautes Fréquences : pénétration du corps humain
Comme on peut le voir sur le schéma, les très hautes fréquences SHF (radars, micro-ondes) ne pénètrent pas le corps humain dans sa totale profondeur mais dans sa superficialité. Cela n’est certainement pas sans incidence car dans les parties superficielles du corps humain se situent des tissus très fragiles (articulations, glandes endocrines, cerveau, nerfs périphériques…)
Hyperthermie due aux champs hautes fréquences
Si une personne est exposée à des champs de très hautes fréquences, les tissus vivants peuvent subir une augmentation de température. Cela peut concerner le corps entier ou une partie du corps. C’est ce qu’on appelle l’hyperthermie. Plus les puissances seront fortes et plus l’échauffement sera important allant jusqu’à l’apparition de brûlures superficielles ou profondes. Dans le cas du téléphone portable, les effets pourront être très néfastes sur la cellule (oreille et cerveau)
Hypersensibilité électromagnétique – Electro-sensibilité
De nombreuses personnes se plaignent de symptômes, quelques soit le type de champ électromagnétique et plus particulièrement par rapport à ceux provenant des très hautes fréquences. Il n’est pas rare que ces personnes présentent comme symptômes une fatigue physique , des douleurs musculaires, une irritabilité, des troubles du sommeil, maux de tête, vertiges, dépression…
La question qu’il faut se poser est de savoir pourquoi ces personnes sont devenues sensibles. Sans doute parce qu’elles ont été exposées de façon continue à des champs électromagnétiques…L’organisme a pu saturer et s’exprimer par ces troubles. De plus en plus de personnes présentent une hypersensibilité, quelque soit l’âge, le sexe ou l’origine de la personne. Il n’est pas exclus que des personnes hypersensibles présentent des terrains réceptifs à d’autres pollutions ou que des personnes allergiques ou vulnérables deviennent électro-sensibles.
L’électro-sensibilité pourrait être également amplifiée par d’autres désordres liés à d’autres sensibilités allergiques, physiques ou psychiques. Ce syndrome d’intolérance environnementale pourrait être réversible une fois que le principe de perméabilité physique ou psychique serait identifié.
L’électro-sensibilité ne semble pas être une maladie mais plutôt être une conséquence ou une réaction d’effets des ondes sur un terrain prédisposé ou fragilisé.
Dans un environnement intérieur, il est possible de se protéger des ondes de très hautes fréquences. La première démarche consiste à connaître la dose d’exposition subie afin de prévoir, si nécessité, les protections adaptées.
Pour obtenir une étude sur l’impact des ondes électromagnétiques très basses et très hautes fréquences que vous subissez au sein de votre habitat.
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